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Lu dans la presse Les bovins souillés compromettent les débouchés

« Pertes de temps, pénibilité accrue du travail de dépouille, contamination des carcasses et en particulier des avants... les bovins qui arrivent souillés à l’abattoir posent également un problème au niveau des critères microbiologiques. » C'est ce qu'explique Alexandre Coronel dans un article paru dans Le Jura Agricole et Rural.

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Les abattoirs ont l’obligation réglementaire d’abattre tout animal déchargé des camions, rappelle l'article : « Il leur est impossible de renvoyer dans son élevage d’origine un animal qui serait jugé trop sale. » Pourtant, un animal sale pose des problèmes pour l'abattage et pour la commercialisation.

D'une part le possible non respect des critères microbiologiques amène un « risque important de réclamation, voire de sanction de la part des clients en particulier dans le secteur des produits élaborés » comme le steak haché ou les brochettes.

D'autre part les animaux souillés posent des problèmes pour l'organisation à l'abattoir : nécessité de les abattre en fin de journée « pour éviter la contamination d’autres carcasses », difficultés de travail sur la chaîne d’abattage, usure du matériel, « travail de parage plus important en fin de chaîne et avant expédition ».

Pour en savoir plus : lire l'article « Bovins viande - Les bovins souillés compromettent les débouchés », par Alexandre Coronel, paru dans Le Jura Agricole et Rural du 5 août 2005 et sur le site internet du journal ; lien direct vers l'article actuellement en cliquant ICI.

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